Ce parcours a été écrit avant l'incarcération illégal de 5 mois en septembre 2011.
En 2011, c'était ÉQUITAS CANADA à ma sortie de prison en février 2012, c'était devenu ÉQUITAS QUÉBEC et à ma sortie de prison en 2015 après un autre abus de pouvoir, il n'y a plus aucune trace de ce site sur internet, ni de M. Couture.
Les droits d'un citoyen victime de tyrannie et d'oppression gouvernementale:
EQUITAS CANADA ( )
RÈGLE DE DROIT
' [TRADUCTION] Le droit de poursuite et défense devant les tribunaux est l'alternatif à l'usage de la force', donc, 'dans une société organisée, cela est un droit conservatoire de tous les autres droits et le fondement d'un gouvernement ordonné' (Chambers v. Baltimore & Ohio R.R. Co., 207 U.S. 142, 148 (1907)). 'Lorsque la justice n'est plus dispensée en public, c'est l'éclosion de l'arbitraire et l'invitation au despotisme, peu importe l'identité du tyran' (Southam inc. c. l'honorable Pierre Brassard, Denis Cipriani et d'autres; (1987) RJQ 1841). Où les droits humains/civiques sont atteints par la gouverne arbitraire est où le droit coutumier et le droit international reconnaissent le privilège d'exercer la révolte contre la tyrannie et l'oppression (ONU - Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, Préambule, par. 3). Magna Carta (R.-U., 1215); la Déclaration d'Indépendance des États Unies d'amérique (É.-U., 1776); la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen (France, 1793) ainsi que diverses constitutions étrangères défendent le droit inné à la vie, liberté et sécurité - l'auto-défense demeurant l'ultime recours légitime contre l'indiscipline gouvernementale.
Nous sommes tous égaux en droits et en dignité et personne n’a à se soumettre à l’arbitraire et j’ai clairement prouvé devant un tribunal l’oppression subit et c’est fini les humiliantes supplications à des fonctionnaires corrompus et arrogants qui m’incite à me faire justice.
Tous les fonctionnaires impliqués dans cette cause arbitraire ont eu le choix de respecter la loi ou non et ils ont tous choisis de me frapper (de la torture mentale quotidienne), moi, je n'ai pas eu le choix et je vais me défendre contre le mépris et l'oppression des fonctionnaires et des élus d'un état démocratique pour qu'ils réalisent que nous sommes vraiment tous libres et égaux en dignité et en droits.
j'ai les mêmes droits que tous ces fonctionnaires publics qui eux violent la loi en brimant mes droits de façon systémique.
1- Le 11 juillet 2005 vers 22:00, 8 policiers de la Ville de Lévis sont venus m'arrêter
sans motifs légaux (m'ont kidnappé et séquestré) avec des mandats d'arrestations non
autorisés (illégaux) à mon domicile concernant des accusations ridicules au dépends de
Cécile Fortin, notre mère.
Mon arrestation était suite à du tiraillage entre frères parce que je ne voulais pas me
laisser voler ma part dans une maison, arrivés sur place après mon départ et sans
enquêter les policiers de Lévis ont prit parti pour mes frères et voulaient m'accuser de
voies de fait, ce qui a convaincue notre mère que j'étais responsable de la chicane avec
mes frères et cela a suffit pour qu'ils soient "référé à un juge" au palais de justice de
Québec pour une évaluation...
DivulpationPreuve17.pdf
page 6 et 7 narration et Carte d'Appel 911
Dans la narration du policier de Lévis Stéphane Boulanger (matricule 401) :
« Il s’agit d’une chicane de famille survenue entre trois frères au domicile de
M Allen Mitchell, l’un des trois frères impliqués. »
Et plus loin, « J’ai discuté longuement avec eux a savoir s’il voulait porter plainte,
mais ne voulait pas. »
Wayne m'a demandé lorsque j'étais à l'extérieur seul avec lui que son
frère (Robert) a plus besoin d'aide que poursuivi au criminel.
Il me dit qu'il avait probablement besoin d'aide psychologique.
…J’ai donc référé Wayne Mitchell au palais de justice pour l’obtention d’un
mandat pour évaluation psychiatrique.
DivulpationPreuve17.pdf page 7 Carte d'Appel 911
Le lendemain matin, c'est notre mère qui est au palais de justice, elle y rencontre le
procureur de la couronne Steve Magnan qui sait très bien que c'est un conflit monétaire
entre frères mais une accusation arbitraire de harcèlement criminel au dépends de notre
mère sera portée contre moi suite à cette rencontre et plus tard une autre accusation de
tentative d'extorsion de 50,000$ sera ajoutée. Mes frères en me traitant de fou en ont eu
beaucoup plus qu'ils en demandaient.
Jamais, je n'ai imaginé que je me ramasserais avec des accusations au dépends de notre mère suite à du tiraillage avec mes frères, eux-même ont provoqué les incidents et le seul témoin était mon fils, ma mère était à l'intérieur de la maison et je ne l'ai vu que quelques secondes avant de partir après le deuxième incidents. Moi, je me préparais pour les poursuivrent au civil.
2- Le 12 juillet 2005, sur la simple suggestion de mon frère à un policier de Lévis sans aucune preuve au dossier, le juge Pierre
L. Rousseau, m'a fait incarcérer pour trois jours, sans aucun motifs légaux.
3- Le 14 juillet 2005, le juge Pierre L. Rousseau m'a libéré sous conditions.
Wayne Mitchell a réussi à berner tout le monde et il a économisé environ 35,000$ le 14 juillet 2005, en devenant le seul propriétaire de la maison sans avoir à me payer ma part.
Le nouveau propriétaire.
4- Le 8 août 2005, je n'étais pas présent devant le juge Pierre Verdon.
5- Le 20 octobre 2005, devant le juge corrompu Jean Drouin la « grotesque parodie de procès » et la condamnation. Le juge a
décidé que ma mère continuerait a prendre pour mes frères et sa seule préoccupation a été, comme les policiers de Lévis, de
s'assurer que notre mère me croit coupable. Dans le jugement il a complètement ignoré le témoignage de Wayne Mitchell.
Ministre de la justice: Yvon Marcoux
Il faut être très méprisant pour diriger et participer en toute connaissance de cause à un procès comme celui-là.
NOUS NE SOMMES PAS DES ENFANTS et je n'ai jamais ressenti le besoin de passer par notre mère pour parler à mes
frères et je n'aurais jamais accepté d'impliquer notre mère (70 ans en 2005) dans notre conflit surtout pas jusqu'à l'inciter a
prendre parti et la laisser dire n'importe quoi en Cour contre un de ses fils, il faut vraiment être des hosties d'imbécile pour en
arriver là.
6- Le 17 novembre 2005, j'ai déposé au greffe du palais de justice de Québec un avis d'Appel, seul sans avocat parce que je
savais que Yves Savard n'avait pas fait sa job comme il faut.
Le juge corrompu a dit qu'il ne me croyait pas, alors je cite des aberrations du procès. j'ai toujours respecté ma mère et je n'ai
jamais crié après elle et jamais Wayne n'appui le témoignage de notre mère.
j'AVAIS VU JUSTE AVEC CES ARGUMENTS POUR ALLER EN APPEL.
Les motifs d'Appel du 17 novembre 2005.
7- Le premier décembre 2005, j'ai été voir Me Pierre Fortin de l'aide juridique à Lévis pour lui demander de me représenter en
Appel mais il n'a pas voulu en me disant qu'il n'y avait pas de cause.
8- Le 19 décembre 2005, première comparution en Cour supérieure suite au dépôt de l'avis d'appel. Reporté au 17 février.
Juge Richard Grenier.
9- Le 17 février 2006, deuxième comparutions en Cour supérieure, la transcription du procès est manquante au dossier, même si
elle a été déposé au greffe du palais de justice, moi j'ai la transcription dans les mains, le juge me conseil de me
trouver un avocat et reporte le tout au 8 mai 2006.
Juge Jean-Claude Beaulieu.
J'ai demandé à ce juge que "quelqu'un de neutre" lise les notes sténographiques,
il m'a répondu qu'il ne me servirait pas d'avocat, de me trouver un avocat.
Aujourd'hui, je répondrais que c'était d'un MAITRE DU DROIT indépendant et digne
d'une Cour supérieure dont j'avais le plus besoin. (voir le procès-verbal)
10- Je n'avais pas confiance (avec raison) en Jean Petit que j'avais déjà rencontré et au début d'avril 2006, j'ai rencontré
une avocate que m'avait recommandé le Barreau, elle voulait me représenter sous un mandat d'aide juridique qui a été
refusé pour service non-couvert et quelque chose s'est passé parce qu'après elle me chargeait plus cher que Petit.
je suis retourné voir Jean Petit.
11- Le 21 avril 2006, troisième comparutions en Cour supérieure, dépôt par Jean Petit d’une requête en prolongation de délai
d’appel et demande de remise, le tout remis au 8 mai 2006.
Juge Jacques-J. Lévesque
12- Le 8 mai 2006, je n'étais pas présent lors de cette comparution pour le dépot de l'avis d'Appel en vertu de l'art 813 C. cr. pour
un nouveau procès devant la Cour supérieure.
Juge Louis De Blois
13- Le 16 juin 2006, paiement complet du 3500.00 $ à Jean Petit.
14- Au printemps 2006, j'ai rencontré un de mes oncle au IGA de St-Jean Chrysostome, j’ai eu tellement honte de la situation
dans laquelle je suis et je voulais m'éloigner parce je vivais beaucoup de frustration et je ne voulais pas faire de gaffe alors
en juillet j'ai décidé de partir pour l’Alberta.
15- Le 16 septembre 2006, je reviens de Calgary pour l’audition du 18 septembre 2006 en Cour supérieure, l'avis d'appel est en
vertu de l'art 813 C. cr.
Ministre de la justice: Yvon Marcoux
Juge Claude C. Gagnon
Il faut être condescendant et très méprisant pour diriger et participer en toute connaissance de cause à un procédure d'Appel
comme celle-là.
Le "Petit futé" un CROSSEUR qui a accepté mon argent pour me servir d'avocat, me traite de pas instruit qui n'a pas été
choisi dans un catalogue sears et le CORROMPU JUGE CLAUDE C. GAGNON réplique que c'est le cas pour tous les
témoins de ce procès. Mais c'est qui les brillants juristes qui ont pensé, autorisé, engagé, condamné et qui n'ont pas
voulu assumer en Appel une cause arbitraire et abusive à l'extrême dans une démocratie.
D'ou sort leur diplôme de droit ? D'une boite de "CRACKER JACK".
page 39 et 40 des notes sténographiques du procès en Appel.
Les policiers et la couronne ont totalement manqué de RESPECT envers ma mère et la justice en l'incitant a prendre parti
dans cette cause, s'ils avaient impliqué les bonnes personnes et déposé les bonnes accusations avec de la preuve, ce juge
n'aurait pas eu a traité ma mère de stupide parce qu'elle n'aurait pas eu à témoigner. C'est facile de traiter les autres
d'imbécile, mais la job d'un avocat de la défense c'est de protéger les droits de son client et de faire sortir la vérité tandis
que le juge qui est le MAITRE DU DROIT et très bien payé pour être indépendant n'a qu'à s'en tenir au Droit.
16- Le 27 septembre 2006, le jugement indigne d'une Cour supérieure.
17- Le 26 octobre 2006, parce que je savais que Petit n'avait pas fait son travail comme il aurait du le faire, mais sans savoir
exactement quoi, j’ai déposé un autre avis d’appel que j’ai préparé en vitesse pour respecter les délais parce que Petit
a étiré le temps avant de me remettre les documents.
18- Le 2 février 2007, dépôt d’une requête pour permission de déposer un exposé écrit en remplacement du mémoire.
19- Le 7 février 2007, je reviens de Calgary pour une audition en Cour d’Appel, notes sténographiques encore manquantes.
Reporter au 14 mars 2007.
Juge Paul-Arthur Gendreau
Pierre Bienvenue pour la couronne
20- Le 2 mars 2007, j'ai déposé une nouvelle requête demandant l'autorisation de faire une nouvelle preuve. Nommé ainsi sur les
conseils de Pierre Bienvenue substitut au procureur général au dossier qui le 7 février 2007 est venu me voir à l’extérieur
de la salle d’audience pour me dire qu’il ne s’y connaissait pas en mécanique mais qu’en droit et il m'a conseillé ce titre pour
ma requête.
21- Le 14 mars 2007, je reviens de Calgary pour une autre audition en Cour d ‘Appel notes sténographiques encore manquantes
même si elles ont été signifiées et ma requête ne porte pas le bon titre.
Ministre de la justice: Yvon Marcoux
Juge Julie Dutil.
je lui ai remis les notes et le jugement de la Cour supérieure, elle a ajourné et en début pm après avoir supposément lu les
notes et le jugement, malgré que le témoignage de Wayne ai été complètement ignoré, l'absence totale de preuve
au dossier et les erreurs de droit dans les jugements, elle a jugé que l'étude de l'ensemble de la preuve révèle que le verdict
de culpabilité est bien fondé en droit.
22- Le 21 mars 2007, j’ai porté plainte au ministère de la justice du Québec parce que les documents même signifiés que je
déposais au greffe du palais de justice ne se rendent pas au juge pour les auditions. Quelques jours plus tard l’on ma répondu
que c’était parce que je ne les déposaient pas.
23- Le 15 avril 2007, j’ai envoyé un courriel au syndic du barreau pour des renseignements.
24- Le 18 avril 2007, j’ai parlé avec Me Marie-France Laforce qui m'a dit qu'elle ne me servirait pas d'avocate.
25- Fin avril ou début mai 2007, j’ai communiqué par téléphone avec la commission des droits de la personne et avec le bureau
du protecteur du citoyen qui eux ne peuvent rien faire pour moi. Ils m'ont dit de me trouver un avocat.
26- Le 13 mai 2007, par courriel j’ai porté plainte en Déontologie Policière contre les policiers de Lévis, je ne savais pas
exactement contre qui parce qu'il n'y avait pas grand chose dans la preuve et sur leur site internet ils disaient qu'ils pouvaient
nous aider.
Ministre de la justice: Jacques Dupuis
ILs nous offrent leur aide pour identifier la preuve contre les policiers!!!!!
Oui. N'hésitez pas à contacter le personnel du Commissaire à la déontologie policière qui pourra vous aider à formuler votre
plainte et identifier les éléments de preuve susceptibles de soutenir les allégations sur lesquelles elle repose.
27- Le 6 juin 2007, après quelques courriels et téléphones ma plainte a été rejetée.
28- Le 18 juin 2007, j’ai demandé une révision de la décision.
29- Le 22 juin 2007, maintien du rejet de la plainte.
30- Le 19 juillet 2007, j’ai écrit au ministère de la justice du Québec et je n’ai obtenu aucune réponse même pas un accusé de
réception.
31- Le 19 août 2007, j’ai envoyé tout le dossier au GRCC, Groupe de Révision des Condamnations Criminelles à Ottawa.
Ministre de la justice: Jacques Dupuis
32- Me Martin Lamontagne me demandait de préciser ma plainte, ce que j'ai fait dans ce document et je n'ai plus été capable de
le rejoindre par la suite.
J’ai tenté de rejoindre Me Martin Lamontagne jusqu’au printemps 2008 sans succès, travaillant 60 hres par semaine en me
disant qu’à un moment donné, ils devront prendre une décision, j’ai attendu.
33- Le 11 octobre 2008, n'ayant eu aucune nouvelle, j’ai porté plainte au Barreau contre les 4 avocats : Yves Savard, Jean Petit,
Steve Magnan, Pierre Bienvenue.
Ministre de la justice: Jacques Dupuis
Ils sont tous blanc comme neige, entre octobre 2008 et septembre 2009, blanchis par le Barreau et en révision.
En février 2009, j'ai laissé ma job de camionneur a Calgary, le Barreau me jouait trop dans tête en me prenant pour un imbécile
avec tous ces procédures et je suis revenu au Québec en juillet dans le but de réglé mes problèmes avec la justice et je n'ai
pas changé d'idée, au contraire.
Pour voir les 4 plaintes, cliquer l'onglet BARREAU.
34- Plainte contre le juge Jean Drouin au Conseil de la Magistrature.
Ministre de la justice: Kathleen Weil.
35- Plainte au Conseil canadien de la Magistrature contre les juges Claude C. Gagnon et Julie Dutil.
36- Le 11 mai 2009, je rejoins Kerry Scullion directeur du GRCC qui me dit que Me Lamontagne est en congé de maladie depuis
très longtemps et que quelqu’un d’autre s’occupait du dossier.
37- Le 15 juin 2009, je reçois un rapport de Kerry Scullion daté du 11 mai 2009, supposément fait par Me Martin Lamontagne (qui est en congé de maladie depuis très longtemps) et le document n’est pas signé.
38- Après quelques autres échanges avec Kerry Scullion, en juillet 2009, il me dit au téléphone d’aller en Cour suprême pour
obtenir justice.
39- C’est ce que j’ai fait le 6 août 2009 et le 29 octobre 2009 c’était réglé, ça n’en vaut pas la peine, va te coucher dans ta boite.
Le role du DPCP.
Loi sur le directeur des poursuites criminelles et pénales L.R.Q., chapitre D-9.1.1
15. Le directeur doit:
1° informer, dans les meilleurs délais, le procureur général des appels portés devant la Cour suprême du
Canada...Kathleen Weil était procureur général en 2009.
C'est incroyable qu'une cause arbitraire et oppressive ait pu se rendre jusqu'à la Cour suprême du Canada, mais que
la Cour suprême n'intervienne pas est une vrai aberration, au moins retourner la cause devant la cour d'Appel de la
province.
40- Même après le rejet par la Cour suprême, j'étais sur qu'il y avait des abus et je me suis mis à lire beaucoup de jugements (la
jurisprudence) pour comprendre la suffisance de la preuve et la façon de contester les jugements.
41- Le 24 novembre 2009, j'ai demandé à M. Serge Ménard du Bloc Québécois d'intervenir auprès du GRCC.
42- Le 6 janvier 2010, j'ai parlé avec Mme Geneviève Blanchard l'attachée politique de M. Ménard, elle n'avait pas encore pris
connaissance de ma demande. A suivre... 22 janvier 2010 pas encore eu de réponse. Je n'ai jamais eu de nouvelle.
43- Retour au GRCC le 2 février 2010, un document relatant l'insuffisance de la preuve, mandats pas signé, pas de dénonciation,
aucune preuve aux dossiers etc... le 8 février 2010, Kerry Scullion dit ne pas avoir recu le document à son bureau et me dit
que ça peut prendre des mois avant qu'il le recoive et qu'il ne m'enverrait pas d'accusé de réception.
44- Le 26 février 2010, j'ai contacté la cour Fédérale par téléphone pour aller en Appel de la décision du GRCC Guillaume
Chénard devait me rappeler le lundi suivant, vendredi le 5 mars, pas eu de nouvelle et ca continu. J'ai plutot décidé de
retourner devant la cour d'Appel du Québec parce que c'est ce qu'aurait du faire le GRCC en vertu de l'art.696.3 (3)(iii) du
Code criminel.
45- Mardi le 27 avril 2010, retour au palais de justice de Québec devant la Cour d'Appel, Juge Guy Gagnon, il était le juge-en
-chef de la cour du Québec en octobre 2005.
Ministre de la justice: Kathleen Weil.
46- Fin juin 2010, j'ai trouvé l'annulation des mandats d'arrestation aux dossiers du greffe du palais de justice de Québec, je n'ai
jamais été inculpé formellement et après ma première comparution la greffière a annulé les dossiers.
47- L'hypocrisie des parlementaires qui se foutent de l'intérêt public, ils se votent des lois qu'ils savent inconstitutionnelles pour
donner l'apparence qu'ils ne peuvent pas intervenir.
Au lieu de venir en aide à un citoyen sérieusement opprimé, ils m'ont appuyé sur la tête pour me noyer.
Le dernier message du 8 juillet 2010,
j'ai vérifié et dans le dossier qui vous concerne, nous ne pouvons malheureusement pas intervenir en aucun temps quand il
s'agit d'un dossier relevant de la justice.
Les Droits Humains dans l’administration de la bonne gouvernance
... De fait, si l’on veut que les droits de l’homme deviennent réalité pour chacun, les
parlements doivent jouer pleinement leur rôle et exercer à cet effet leurs pouvoirs
spécifiques, à savoir celui de légiférer, d’adopter le budget et de contrôler l’action du
gouvernement...
EQUITAS CANADA ( www.eqrolc.ca ) RÈGLE DE DROIT
48- Septembre, autre tentative pour me trouver un avocat, un criminaliste réputé de Montréal, au début il ne semblait pas y avoir
de problème mais soudainement il a changé d'idée et je ne commenterai pas la suite.
49- Le 14 sept. 2010 plainte au ministre de la justice et Procureur général du Québec Jean- Marc Fournier, le protecteur de
l'intérêt public: Je veux que l'on respecte mes droits constitutionnels!
50- Le 14 octobre 2010, Ajout à la plainte du 14 sept. 2010.
Des fonctionnaires qui méprisent les citoyens disent ne pas pouvoir intervenir dans une cause arbitraire pour protéger l'intérêt public.
Les recours sont inefficace parce qu'ils savent que présentement la dignité et l'équité ne font pas partis des valeurs démocratiques québécoises.
Les Droits Humains dans l’administration de la Justice
Un des indicateurs de base d’une saine administration de la justice est la façon dont celle-ci est administrée dans une société.
Comme mis en évidence selon la Déclaration Universelle de Droits de l’homme, ... il est essentiel que les droits de l’homme
soient protégés par un régime de droit pour que l’homme ne soit pas contraint, en suprême à recours, à la révolte contre la
tyrannie et l’oppression. Les systèmes légaux nationaux (incluant l’administration de la justice) doivent s’assurer de la
réalisation de ce but.
EQUITAS CANADA ( www.eqrolc.ca ) RÈGLE DE DROIT
51- Le 30 novembre 2010, je suis donc retourné devant un juge de la Cour d'Appel du Québec.
Ministre de la justice: Jean-Marc Fournier.
Juge Lorne Giroux
52- Le 29 mars 2011, lors des 2 dernières comparutions les juges n'avaient pas voulu regarder la preuve du début sous prétexte
que la juge Julie Dutil avait jugé la condamnation bien fondée, j'ai alors déposé une requête en CERTIORARI pour les obliger a regarder la preuve du début.
juge France Thibault
53- Le 11 avril 2011, requête en certiorari et "tyrannie organisée" devant la Cour supérieure, mais la couronne dit que la requête ne
lui a pas été signifiée et même si le juge a la preuve de signification il reporte le tout au 18 avril 2011.
Juge Benoit Moulin
54- Le 18 avril 2011, c'était organisé pour que le juge ne se prononce pas sur le CERTIORARI, à la dernière minute pour me
déstabiliser la couronne a présenté une requête en irrecevabilité avec comme motif, "la chose jugée basée sur le jugement du
14 mars 2007 de la juge Julie Dutil," à cause que les dernières requêtes se ressemblent sur "l'insuffisance de la preuve et les abus
de pouvoir du système judiciaire". CA S'PEUX-TU ? J'ai alors prouvé hors de tout doute au juge Benoit Moulin de la Cour
Supérieur, qu'il n'y avait aucune preuve aux 2 dossiers et que les jugements étaient sans fondement légal et que mes 2
avocats avaient été incompétent, preuve à l'appui.
La couronne n'a pas contesté les abus et les deux avocats de la défense n'ont pas contesté la preuve d'incompétence et " ??
par respect ?? " pour ce que je venais de lui dire qu'il m'a dit, le MAITRE DU DROIT n'a pas voulu se prononcer sur-le-champs
sur cette requête en irrecevabilité pour procéder sur la requête en CERTIORARI, le jugement devait sortir dans les jours
suivants la comparution mais je l'attends encore pour continuer les abus de procédures.
je n'aurai surement jamais ce jugement, ils n'en sont pas à un "déni de justice"
près, un HONORABLE juge aurait mis fin à cette HONTEUSE PARODIE juridique sur-le-
champs.
Ministre de la justice: Jean-Marc Fournier.
Juge Benoit Moulin.
55- Et comme par hasard Jean Petit savait que ca prendrait du temps pour le jugement, après l'audience il a dit que la greffière Lynna Plante était lente a envoyer les jugements. 3 semaines après pas encore de nouvelle du jugement. Tous les autres
jugements sont sortis la journée suivant l'audience.
Le 21 juin 2011, C'est pas fort les juges au Québec, le juge Benoit Moulin de la Cour supérieure n'a pas encore rendu
jugement, un autre incompétent trop bien payés. La constitution et les Chartes existent justement pour protéger les citoyens
des abus des fonctionnaires trop condescendants et pour préserver la paix sociale.
Avec ces policiers, avocats, juges et politiciens corrompus et autres fonctionnaires prévaricateurs ca ressemble plus
à du théatre de très mauvais goût qu'à un système judiciaire digne d'un pays démocratique. Ca donne le goût de tuer de se
frotter pendant des années à ces condescendants véreux qui me prennent pour un imbécile.
BBBBBBBBBrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr J'ai peur !